Sur un rythme beaucoup plus modeste dernièrement que depuis le début de la saison, le Grenoble Foot perd un peu de terrain sur les places de promotion automatique en Ligue 1 et est même redescendu à la 4e place de Ligue 2, avec des concurrents qui commencent à le rattraper. Rien de décisif pour le moment, mais suffisamment pour faire réagir Vincent Hognon qui s’agace de la façon dont son équipe entame les rencontres, comme à Troyes où la première mi-temps n’a pas été suffisamment qualitative à son goût.
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« La semaine dernière, on a fait une semaine excellente, c’est pour ça que le match m’a un peu surpris. À corriger urgemment, mais en même temps quand on regarde, on voit qu’on avait la capacité de faire beaucoup mieux. C’est surtout ça qui est intéressant. Maintenant, il faut qu’on arrive à transférer ce qu’on fait bien à l’entraînement ou dans le match sur le plan comptable. C’est à dire marquer des buts, en prendre moins, bien débuter les matchs… Mais on est encore quatrièmes, c’est là-dessus qu’il faut positiver même si on avance moins vite, il faut le reconnaître. Les contenus sont quand même assez irréguliers, mais il y a toujours de la matière positive. »
« On a la capacité à réagir ! »
Notre milieu de terrain é et notre entraîneur se sont exprimés à la presse avant le retour au Stade des Alpes contre Pau ! pic.twitter.com/VfilcGVFCQ
— Grenoble Foot 38 (@GF38_Officiel) February 23, 2024
« Contre Troyes, on encaisse à la 30e minute mais on n’était pas dedans, on a donné confiance à l’adversaire et on ne doit pas faire ça. On doit être présents, dans l’intensité et la détermination, tout de suite. Dans notre situation, il faut se prendre en charge collectivement mais je pense avant tout individuellement. C’est important de corriger nos débuts de matchs, en tout cas dans l’aspect mental parce qu’on peut être dominés par l’adversaire mais pas donner des choses. On doit faire prendre conscience qu’on est là pour gagner des matchs et terminer haut en fin de saison. Il faut qu’on arrive à le faire comprendre à tout le monde au Stade des Alpes […]. Je sais qu’on peut gagner tous les matchs, mais si on ne fait pas assez on ne les gagnera pas. »
Photo Anthony Dibon/Icon Sport
