Cela faisait depuis 2012 que Quevilly – Rouen Métropole n’avait pas décidé de se séparer d’un entraîneur en cours de saison (Bruno Irlès avait été débauché par Troyes au grand dam du club normand en 2022). En décidant de se séparer d’Olivier Echouafni et d’appeler Jean-Louis Garcia en remplacement, l’actuel 18e de Ligue 2 a rompu avec sa tradition de stabilité. Au micro de France Bleu Normandie, le vice-président du club, Philippe Blot, a justifié la décision du club, sans accabler le coach qui s’en est allé la semaine passée.
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« On a voulu faire un choc psychologique. ci, on laisse du temps au coach, on ne licencie pas pour en prendre un deuxième, puis un troisième si cela ne fonctionne pas. Mais là, on a estimé que c’était le moment. Il reste 18 matches, après c’est trop tard. S’il reste dix matches pour prendre dix points, ce n’est pas possible. On est moins bien cette année mais ce n’était pas la faute du coach, il a fait son travail. Mais il y avait des petits éléments qui faisaient que les matches nuls devenaient des défaites. La défaite à Feignies, perdre dans les arrêts de jeu contre Guingamp, il fallait un électrochoc. »
Photo Loic Baratoux/FEP/Icon Sport
