Bordeaux vit un début d’année 2024 mouvementé. D’abord emmenés aux tirs au but par Sannois Saint-Gratien (1-1, 4-2 après TAB), les Girondins ont ensuite affiché un visage plutôt intéressant face à Auxerre (1-3) et Nice (2-3), sans pour autant décrocher la victoire. Éliminés de la Coupe de France, ils peuvent désormais se tourner vers la Ligue 2 et une 21e journée qui arrive ce mardi face au VAFC (20h45). Avant de recevoir l’actuelle lanterne rouge du championnat, l’entraîneur bordelais, Albert Riera, s’est présenté en conférence de presse.
À lire aussi >> Bordeaux – Albert Riera après Nice (2-3) : « Content de la manière avec laquelle on a fini le match »
Le match le plus important depuis son arrivée à Bordeaux ?
« Tous les matchs sont importants, c’est vrai que c’est un match pour lequel on part favori sur le papier, mais on sait qu’en football, tous les matchs sont difficiles. Le VAFC a besoin de points pour se sauver, donc ce ne sera pas facile […] De notre côté, on peut jouer mal ou moins bien, on peut perdre ou gagner des matchs, mais au niveau des sensations des joueurs, l’équipe se sent bien. C’est vrai qu’on peut faire mieux, il y a toujours des points sur lesquels progresser, mais l’équipe se sent mieux […] Il faut que l’on fasse preuve de plus d’efficacité offensive, il n’y a pas encore assez de calme dans la surface de réparation. »
L’enchaînement VAFC-Angers, dernière chance de recoller au top 5 ?
« On ne peut pas encore penser à Angers, c’est loin. Il faut commencer à gagner des matchs, enchaîner les victoires, c’est ça l’idée. On sent que c’est un match très important pour se rapprocher de là où on veut être, où Bordeaux mérite d’être […] Il n’y a pas beaucoup de clubs qui peuvent s’appuyer sur les supporters, nous on a le privilège de les avoir en quantité et avec un soutien fort. On a bien fini contre Nice, c’était important pour les joueurs, mais l’énergie apportée par les supporters était essentielle […] Chacun a sa responsabilité, mais s’ils font leur travail, c’est une aide incroyable. »
Photo Romain Perrocheau/FEP/Icon Sport