Même si une grave blessure d’un milieu de terrain essentiel pourrait compromettre les ambitions du Grenoble Foot 38 sur la phase retour du championnat, le club Isérois peut compter sur son gardien de but Brice Maubleu, qui a retrouvé la majeure partie de ses moyens et devrait être titularisé par Vincent Hognon ce week-end face à l’USL Dunkerque. En conférence de presse avant la J20 de Ligue 2, filmée par nos confrères de Grenoble Foot Info, le capitaine a bien tenu à rappeler que si son équipe en était à 34 points après 19 journées, ce n’est pas dû au hasard.
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« Ça va mieux, j’ai repris début janvier, j’ai joué une mi-temps contre Saint-Étienne et pour l’instant, ça va. Le dos est plutôt bien remis, on va voir ce week-end sur ce premier match contre Dunkerque comment ça réagit mais après 10 jours de reprise, ça va plutôt bien. C’est une blessure que j’ai eue il y a de très nombreuses années mais qui m’a laissé tranquille pendant 5, 6 ans. Cela faisait quasiment 70 matchs d’affilée que je faisais, j’étais très sollicité avec des changements de terrain… J’aurais pu me faire mal même sans cette blessure précédente. Maintenant, l’objectif est de faire une bonne deuxième partie de saison, même encore meilleure que la première. »
Continuer sur la lancée
« Quand on fait un début de saison comme celui-là, l’objectif c’est bien sûr de continuer sur cette performance. À nous de ne pas tout gâcher et de prendre un maximum de points pour espérer vibrer sur la fin de la saison […]. Les saisons sont longues, il y a beaucoup d’équipes qui sont à la bagarre mais sur ce qu’on a montré sur ce début de saison, forcément on a un peu de confiance. Il faut se dire que si on est capables de faire six mois de cette qualité-là, on est capables d’en faire cinq autres avec la même qualité. Il faut avoir confiance en soi et surtout ne pas se relâcher, ne pas relâcher ses efforts. Si on veut être ambitieux et faire encore mieux, il ne faut pas se reposer sur ses lauriers parce que souvent les deuxièmes parties de saison sont plus compliquées que les premières. Il y a plus de pression et les matchs sont parfois plus accrochés. »
Photo Loic Baratoux/FEP/Icon Sport
