Convoqué pendant le mois de janvier au minimum par l’Algérie pour la Coupe d’Afrique des Nations 2023 en Côte d’Ivoire, le portier de Caen Anthony Mandréa va vivre sa première compétition internationale majeure en tant que joueur. Il a quitté le club de Ligue 2 pour rejoindre ses coéquipiers et en cas de qualification jusqu’en finale, il pourrait manquer à Nicolas Seube jusqu’au 11 février 2024, date de la finale du tournoi. Interrogé dans un bref entretien accordé à l’application 90Football, le nouveau gardien titulaire des Fennecs parle de son ambition pour la compétition et du statut de sa sélection.
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« L’Algérie est très attendue, de par ses prestations lors de la dernière CAN et pour les qualif’ de la Coupe du Monde. Nous, on y va pour gagner. On sait qu’on est une grande nation africaine, on a cet état d’esprit de compétiteurs, celui pour aller le plus loin possible et donc la gagner. Je pense qu’on a un groupe homogène qui est en train de poser de belles fondations, qui va se consolider dans les mois et les années à venir. »
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🇩🇿 Anthony Mandrea et l’Algérie à la Coupe d’Afrique des Nations : «On sait qu’on est une grande nation africaine. On y va pour gagner.»
▶️ Son interview en intégralité ici : https://t.co/KOcXtiy6zU#AFCON2023 #CAN2023 pic.twitter.com/uCVWd1CuMR
— 90football (@90footballFr) January 9, 2024
Dans le groupe du Burkina Faso, de la Mauritanie et de l’Angola, Mandréa aura l’occasion de retrouver au moins un joueur de Ligue 2 chez chacun de ses adversaires : « Ce qui est compliqué, je n’aime pas dire ça mais c’est que les nations africaines sont imprévisibles. Une nation plus petite a toutes ses chances de gagner et de passer parce que c’est c’est l’Afrique, c’est très compliqué de gagner contre n’importe qui. Il faudra faire preuve de sérieux. À partir du moment où on le sera et où on respectera ce qui sera mis en place, ça se passera correctement. Compte tenu des joueurs qu’il y a dans la sélection, on est supervisés. Je pense qu’on est très attendus au tournant. C’est peut-être mieux d’être un outsider, avec ce statut-là on peut faire profil bas et montrer que tous unis, on peut faire les choses bien. Montrer qu’il fallait nous voir du bon côté. »
Source : Appli 90Football.
Photo Hugo Pfeiffer/Icon Sport
