Championnat

Amiens – Régis Gurtner : « J’ai pris beaucoup de plaisir lors des deux années avec le coach Hinschberger »

Conscient de ce qu’il se passe dans le monde du football lorsqu’une équipe ne performe pas au niveau auquel elle est attendue, Régis Gurtner a tout de même eu du mal à avaler l’éviction de Philippe Hinschberger, son entraîneur à Amiens. Le capitaine de l’ASC veut finir la saison en beauté pour rattraper un peu les résultats récents et la chute drastique de son club au classement et apprécie tout de même le travail du nouveau staff, composé du trio De Percin-Descamps-Ielsch. Même s’il n’est toujours pas fixé sur son avenir, le gardien de but veut aider son équipe a montrer un bien meilleur visage sur les neuf dernières journées de Ligue 2.

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« On a été un peu surpris quand on est arrivés lundi. Forcément, il y a eu une journée où il a fallu digérer un peu tout ça, on a eu une séance assez légère ce jour-là pour vider un peu les têtes, évacuer. On sait par expérience que le football est comme ça. Je suis triste pour le coach qui est une personne que j’appréciais vraiment beaucoup, humainement ou sur le plan sportif. J’ai pris beaucoup de plaisir lors des deux années que j’ai passées avec lui. On sait maintenant qu’il faut avancer, c’est le monde du football qui est comme ça. A nous maintenant de voir le présent et l’avenir, c’est à dire deux mois à travailler avec le staff. »

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« Amener du dynamisme, un nouveau discours, ça fait toujours du changement. On dit toujours que quand on a des habitudes, on essaye d’en sortir, de les changer pour faire bouger les choses et faire évoluer les entraînements. Les discours sont différents et tout le monde a envie de bien faire sur les neuf matchs qui arrivent, même si on est sur une mauvaise dynamique. On sait qu’il faut qu’on l’inverse pour recréer une dynamique positif, arracher les victoires car elles seront difficiles à acquérir. Contre Nîmes, ce n’est jamais évident, ils viennent de gagner 4-0 et vont arriver en pleine confiance, en jouant leur peau comme Rodez a pu le faire. »Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport

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