Le Paris FC est entré dans son match avec une heure de retard samedi sur la pelouse de Bordeaux (1-2, 24e journée de Ligue 2). Après une première période ratée, les hommes de Thierry Laurey ont affiché un meilleur visage, sous l’impulsion de Morgan Guilavogui et a fortiori de Julien Lopez. La réaction n’a pas suffit aux Parisiens, malgré une situation chaude dans la surface girondine en fin de match. En conférence de presse, l’entraîneur francilien a exprimé quelques regrets.
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« Je reconnais que Bordeaux nous a dominés en première période dans le sens où on sentait de l’impact physique à chaque fois. On avait pourtant monté une équipe qui était assez athlétique, mais qui a eu un peu de mal à répondre dans le jeu et dans les duels. Et puis, en seconde période, il suffit de regarder les stats, ça a basculé totalement de l’autre côté. Ça aurait dû nous permettre de revenir au score… C’est comme ça, c’est l’histoire d’un match qui n’a pas bien tourné en notre faveur, qui n’a pas tourné du tout dans notre sens. Donc forcément, c’est toujours une déception de voir que même en ayant fait un bon match, on repart avec zéro point […] Si on avait été aussi performants sur la saison qu’on l’a été en seconde période, on n’en serait pas là, c’est clair. Dans l’aspect technique on était beaucoup plus concernés, dans l’impact on a gagné beaucoup plus de ballons. C’est vrai aussi que les Bordelais ont copié un peu ce qu’on avait fait en première période, c’est-à-dire qu’ils ont laissé quand même pas mal, de ballons en route… Ça nous a permis d’avoir des ballons de récupération assez haut. Après, il ne nous manque pas grand-chose, on a les situations. Mais… C’est comme ça. La cerise sur le gâteau, c’est le pénalty qui n’est pas sifflé à la 91e. Ce n’est pas possible. »
Source : Aquitaine Radio Live
Photo ©Johnny Fidelin/Icon Sport
