Après trois matchs sans le moindre point pris ni le le moindre but marqué, Laval s’est réveillé vendredi contre Rodez (3-1) à l’occasion de la 19e journée de Ligue 2, le premier résultat sportif depuis la blessure de Julien Maggiotti, le pilier du secteur offensif tango. Après la rencontre, Olivier Frapolli, le coach mayennais a enjoint ses attaquants à continuer sur leur lancée : un but et une passe décisive pour Durbant, une passe décisive pour Elisor.
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« On a des attaquants de qualité, mais ils ont eu, disons, six mois compliqués. Il y a eu un temps d’apprentissage. Mais Durbant, Elisor, N’Chobi, Naidji, c’était 50 buts l’an dernier. Peut-être pas en L2, mais quand on met 50 buts, on doit arrêter de douter. (Naidji) était un peu cuit, moins en forme contre Saint-Etienne dans le dur, même s’il travaille pour l’équipe. Mais il avait un déchet technique qui ne lui correspondait pas. Simon (Elisor) a été dans l’abnégation, a fait du travail défensif. »
Source : Ouest-France
Photo Eddy Lemaistre/FEP/Icon Sport
