Un nouveau choc de haut de tableau de Ligue 2 se prépare pour Auxerre ! Après un laborieux déplacement à Ajaccio (0-0), l’AJA, 5e, reçoit le Paris FC, 4e. On devrait y voir un peu plus clair dans la course à la montée après cette affiche puisque les six premières équipes en seront toutes à 22 matchs joués. Avant ce rendez-vous, Jean-Marc Furlan était en conférence de presse. La gestion physique de l’effectif est au centre des réflexions de l’entraîneur qui retrouve la quasi-intégralité de son effectif après une importante vague de Covid-19.
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« Lors du dernier match, on n’était pas dans la fluidité, ce qui est assez logique avec ce qu’on a vécu. J’ai un point d’interrogation au-dessus de la tête pour retrouver notre allant en ce moment. Par rapport à cette série de trois matches, je ne te cache pas que je flippe par rapport à ce qu’on a pu vivre sur le dernier mois. Il y a quand même eu un bénéfice par rapport au dernier match, jouer et faire de la compétition, c’est très important. On a eu la réussite et le bonheur de faire un 0-0 alors qu’on n’avait pas d’occasion. Durant le match, je sentais que l’enthousiasme de l’adversaire était beaucoup plus fort que nous. Les garçons, à 11 contre 10, voulaient aller chercher quelque chose. Mais j’ai dit : « Fermons le jeu », par rapport au déroulé. Le Paris FC a de très bons joueurs. C’est un match qui fait flipper par rapport à ce qu’on a vécu. C’est une équipe très compétitive, avec des valeurs individuelles très importantes. Au match aller, ça c’était bien passé pour nous (1-1). C’est un défi à relever en ce moment, de très dur. C’est un challenge. Ils ont gagné six matches d’affilée en étant dans le dur. »
Dans la même thématique, Jean-Marc Furlan a livré ses impressions sur la règle des cinq changements : « Je ne vois pas une amélioration flagrante quand je regarde les matches avec beaucoup de changements. J’ai le sentiment que ça peut déstabiliser mon groupe. Ce n’est pas évident. Parfois, tu es obligé. Il faut réussir à habituer les garçons à ces nouveaux règlements. C’est bien pour les joueurs parce que ça les concerne davantage. J’ai tellement peu l’habitude que je demande à mon staff où on en est (rires). Mais par exemple, changer deux ou trois joueurs en même temps, je me pose des questions quant au protocole de jeu. »
Source : France Bleu Auxerre
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