Châteauroux, dernier de Ligue 2, est passé entre les mains du groupe saoudien United Word Group en 2021. Si la mission maintien s’avère mal engagée alors que la situation sportive était déjà très difficile au moment de l’arrivée des nouveaux propriétaires, le but à l’avenir est de stabiliser La Berrichonne dans le monde professionnel, et pourquoi pas espérer revenir dans l’élite, comme cela a été le cas pour les autres clubs du groupe : Sheffield United en Angleterre, et Beerschot en Belgique. Président de la formation belge, Francis Vrancken se confie dans La Nouvelle République sur l’apport bénéfique de United pour son club.
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« L’objectif, c’est de grandir un peu plus chaque année pour devenir, à terme, l’un des trois ou quatre meilleurs clubs du pays. Si le prince (Abdullah bin Mosaad) n’était pas venu, cela n’aurait pas marché pour Beerschot. Je le pense sincèrement. Et pas seulement pour des raisons financières, mais sportives également. Au début, cela pouvait paraître un peu étrange qu’un investisseur saoudien vienne dans un club traditionnel belge comme le nôtre. Mais le prince a eu la grande intelligence de comprendre que Beerschot avait besoin de gens locaux, comme moi, pour assurer la gestion du club au quotidien. » Un exemple à suivre, aujourd’hui, pour La Berri.
