Bien que 19e de Ligue 2, Rodez garde le cap. Son président, Pierre-Olivier Murat, n’entend aucunement se séparer de son coach Laurent Peyrelade. Il le conforte sans servir le moindre discours de façade. Des propos rassurants à l’heure d’accueillir le barragiste Châteauroux (16e journée) ce vendredi.
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« Pour virer un entraîneur, il doit cocher certaines cases. Il faut qu’il ne travaille pas, qu’il n’ait plus envie et que son groupe l’ait lâché. Laurent Peyrelade ne coche aucune de ces cases. J’applique cette philosophie en Ligue 2 comme je l’ai appliquée en CFA. De plus, je ne crois pas au choc psychologique. Toute équipe qui change d’entraîneur en cours de saison se met en danger car les joueurs restent les mêmes. Si vous virez l’entraîneur, il faut aussi virer la moitié des joueurs. Donc on avance, on garde le 3-4-3 car il exploite nos qualités avec pour règle de base de remporter nos duels et de faire souffrir physiquement l’adversaire. »
Source : La Dépêche