Suspendu face à Rodez (1-1, 15e journée de Ligue 2), René Girard a pu prendre de la hauteur, en suivant le match du Paris FC depuis les tribunes de Charléty. Outre le nul de sa formation, il n’a surtout pas forcément apprécié un arbitrage qui, selon lui, dessert une certaine volonté de jouer.
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« Si on était sorti bredouille de ce match, c’était à se taper la tête contre le mur. On aurait pu mieux faire en étant plus efficace. Nous avons une période difficile. A part le regret qui porte sur l’entame de match, car c’était le pire qui pouvait nous arriver face à cette équipe, nous n’avons rien lâché. Les garçons ont donné le maximum. Nous avons 5-6 occasions. Quand je disais qu’on était un peu en panne d’efficacité, oui. Il y a eu le poteau, plein de petites choses qui ont fait que nous n’avons pu égaliser rapidement. Le mérite a été de ne rien lâcher, de s’accrocher jusqu’au bout. Là, il y a eu une bonne réaction. Dominer plus, c’était difficile. Je trouve aussi que l’arbitrage ne favorise pas les équipes qui veulent jouer. Cela a été, à chaque coup-franc, 2 minutes passées. On a voulu mettre de la vitesse, mais tu ne peux pas, car l’arbitre te rappelle à l’ordre à chaque fois. Ce sont des éléments importants. S’ils veulent favoriser les équipes qui jouent, il faut s’y prendre différemment. »
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