Il devait être l’un des joueurs phare de l’attaque de Châteauroux en Ligue 2 la saison dernière. Malheureusement, Razak Boukari a été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou dès la toute première journée. Un coup dur, d’autant que son retour à la compétition a été avorté par l’arrêt définitif des championnats avec le Covid-19. Dans La Nouvelle République, l’international togolais revient sur une période qui lui a fait perdre du temps dans sa rééducation.
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« Je ne ressens plus de douleur au genou, mais je n’ai pas pu travailler comme il l’aurait fallu. Je gardais les enfants et si j’ai bien fait les exercices de courses et d’appuis, j’ai perdu de la puissance du quadriceps de la jambe. Au niveau musculaire, c’est moins bien en juin que ça ne l’était en avril. Je n’avais plus accès à la machine isocinétique, précieuse dans un cas comme le mien. » S’il a repris avec le groupe, Boukari poursuit donc un retour adapté au terrain, et ne participera sans doute pas aux premiers matchs amicaux.