Coup d’arrêt pour Valenciennes qui reste bloqué à six longueurs du Top 5. Sur la pelouse de Niort, les Nordistes ont été surpris en toute fin de rencontre sur un but de l’inévitable Ibrahim Sissoko (1-0, son 14e de la saison). Mais après la rencontre, l’entraîneur Olivier Guégan ne décolérait pas envers la pelouse du stade René-Gaillard, en très mauvais état pour accueillir une rencontre de Ligue 2.
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« C’était une parodie de football, des deux côtés. Jouer sur un terrain comme ça, c’est une catastrophe. On a voulu aller à l’essentiel, s’adapter. C’est cruel parce qu’on se fait sanctionner alors qu’il y a une situation où il y a peut-être une faute, et sur le contre, on commet plusieurs erreurs de concentration. Repartir avec un point, ça aurait été un moindre mal. Ce qu’il nous a manqué ce soir ? Une pelouse (rire). On savait que ça allait se jouer sur une erreur, d’un côté ou de l’autre. »
Source : La Nouvelle République
