Grenoble est à la recherche d’une deuxième victoire de rang à domicile. Ce vendredi, la tâche s’annonce ardue face à Châteauroux (26e journée de Ligue 2). Une Berrichonne plus à l’aise loin de ses bases qu’à domicile. Philippe Hinschberger, le coach isérois, espère voir ses joueurs confirmer le succès 3-1 face à Niort.
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« On est sur une bonne dynamique que l’on veut voir perdurer. Si on a le bonheur de gagner, ça nous rapproche un peu. On prend de l’espace sur les équipes de queue. Sans prétention, je n’ai pas d’inquiétude avec 35 points après 25 journées pour le maintien. Désormais, on cherche la barre des 40 points. On ne va pas dire qu’il faut atteindre 42 points et on verra. Dans 5 matchs, on veut avoir 42 points, car on veut avoir une certaine régularité dans les résultats. Par rapport à l’an dernier, notre début de deuxième partie de saison est meilleur. L’an passé, nous avions eu du mal à décoller.
L’absence d’affluence ? Si on était 2e, comme le club de rugby, on ferait aussi 7 ou 8 000 personnes, j’en suis persuadé. A Metz, lorsque j’y étais, on faisait plus de monde en Ligue 2 en jouant la montée que des matchs normaux en Ligue 1, où les gens sont moins intéressés car tu es moins bien classé. C’était ma peur l’an dernier à Grenoble, où il fallait s’habituer à gagner moins de matchs. En Ligue 2, on n’est pas favori. Si on prend notre budget, on est dans les 5 dernières équipes. Nous, notre objectif est de retrouver un stade des Alpes bouillant. Donner l’envie aux gens de revenir. »
Source : Métro-Sports