
« Le texte de la convention est on ne peut plus clair : l’exploitation et la maintenance de la vidéosurveillance sont totalement à la charge du club. Il y a un arrêté préfectoral datant de 2009 qui l’atteste. Il y a eu aussi des rappels faits par la municipalité en 2012 et 2014. […] Même si l’idée m’était venue que la ville de Tours s’occupe de ce problème, il m’aurait été impossible de le faire sur un plan légal. Une convention ne peut être contournée. »
Le club tourangeau va donc devoir passer à l’action, le courrier de la Ligue stipulant des travaux à effectuer avant…le 18 septembre ! Sous peine d’amendes, dans un premier temps.


