L’US Orléans, dernier de Ligue 2, est à la peine sur le plan offensif. Il faut dire que le départ estival d’Anthony Le Tallec n’a pas été compensé. L’effectif, même s’il est resté stable quantitativement, a perdu en nombre à l’avant. Philippe Boutron, président orléanais, évoque l’erreur qu’il aurait pu commettre.
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« Quand on a commencé la saison, on avait le même nombre de joueurs que la saison passée. Et une masse salariale, même en très légère hausse. Le Tallec est parti le 29 août. Mais on n’était pas certain que les trois joueurs pressentis allaient nous apporter quelque chose. L’erreur que l’on a pu commettre, c’est d’attendre jusqu’à la dernière minute que Quentin Lecœuche puisse être libéré par Lorient. On aurait dû étudier d’autres pistes. »
Source : La République du Centre