Même si des favoris tendent toujours à se dégager avant le début d’une saison de Ligue 2, il reste difficile d’établir la valeur réelle des écuries qui composent un championnat globalement homogène. Avec son système de power ranking, Opta s’attelle à une tâche particulièrement ardue : classer tous les clubs de football du monde grâce à des règles bien définies. Mais quelles sont-elles, et comment est-ce que cela fonctionne ?
Le classement est établi grâce à un système de points Elo. Après un match, des points Elo sont échangés en fonction du résultat entre les deux équipes ayant pris part à la rencontre. Ce qu’une équipe gagne, l’autre le perd. Ces points viendront s’ajouter à un total plus ou moins élevé qui détermine une note unique à chaque club allant de 100 (la meilleure) à 0 (la pire), et, par la suite, le classement général.
Les points Elo sont distribués en fonction du power ranking des deux clubs avant le coup d’envoi. Ainsi, si Guingamp (435e meilleur club mondial) vient à s’imposer contre le Red Star (758e), un nombre de points moins élevés sera donnés à Guingamp et enlevés au Red Star. En revanche, si les Audoniens l’emportent, leur statut d’outsider (toujours du point de vue du power ranking) leur permettra de remporter plus de points, et l’EAG en perdra donc également davantage. En cas de match nul, la formation la moins bien classée gagne des points, celle qui est la mieux classée en perd.
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En s’appuyant sur ce cheminement certes un peu compliqué, l’entreprise anglaise a réussi à déterminer le classement des meilleurs clubs de seconde division française. Grâce à des notes de 76.4, 76.3 et 76.2, Guingamp (435e), Reims (445e) et Dunkerque (450e) occupent les trois premières places, tandis que Le Mans, le Red Star et Clermont sont respectivement classés 16e, 17e et 18e.
