À sept journées de la fin du championnat, le Stade Lavallois reste en course pour une place en Play-offs et donc pour monter en Ligue 1. Actuellement sixièmes de Ligue 2 à seulement deux points de Guingamp, les pensionnaires du Stade Francis-Le-Basser comptent bien jouer les trouble-fêtes en cette fin de saison. Unique renfort des Tango lors du mercato hivernal, Théo Pellenard revient sur ses premiers mois en Mayenne dans l’émission 100 % Stade Lavallois de nos confrères d’ici Mayenne.
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« C’était un choix réfléchi (de venir à Laval). On voulait se projeter sur un nouveau projet et on est venus ici pour ça. J’arrivais sur une fin de cycle où j’avais besoin d’enchaîner les matchs et de rebondir. C’est ce que je suis venu chercher à Laval. J’essaie d’enchaîner les matchs tout en faisant attention à ma récupération. En cherchant à être performant et en forme à chaque fois. Pour l’instant, tout se passe bien. »
« Tous les matchs ont été intéressants à jouer. Les plus importants ont été la rencontre à Lorient et le dernier face au PFC, qui ont été concluants. Les conditions étaient bonnes face au leader de la Ligue 2. Ce sont ces matchs que l’on aime jouer en tant que joueur. C’était très intéressant d’avoir réalisé une belle prestation et d’avoir pris les trois points là-bas. Laval est une équipe qui correspond à mes valeurs. J’essaie d’apporter toute mon expérience. J’aimerais marquer un but d’ici la fin de la saison, c’est un axe que je souhaite améliorer. »
Un tournant à Guingamp (J28)
« Ça va être un bon match (à Guingamp) avec pas mal de pression des deux côtés, peut-être un peu plus pour eux puisqu’ils sont devant avec deux points d’avance. En plus, ils jouent à domicile. Ça sera une rencontre intéressante, avec du monde attendu au stade. On aime bien jouer ce genre de matchs. Il faudra l’aborder de la même manière que contre le Paris FC, en jouant notre jeu et en mettant notre système en place. Ensuite, on verra comment la rencontre évolue au fil du match. Si on reste concentrés sur nous, ce sera déjà très bien. Contre les grosses équipes, il est un peu plus facile de mettre en place notre plan de jeu que contre les plus petites. C’est aussi un axe de travail pour nous. Dans ce type de match, tout le monde est concentré et sait ce qu’il a à faire. C’est le plus important. »
Source : francebleu.fr
Photo Dave Winter/FEP/Icon Sport
