Alors que Bordeaux est passé tout proche de la liquidation judiciaire cet été, les Girondins ont réussi à recruter beaucoup de joueurs, dont certains du monde professionnel comme Andy Carroll en provenance d’Amiens récemment, ou encore Pape Djibril Diaw. De quoi interroger de nouveau sur le projet bordelais et ses capacités financières réelles… Et alors qu’un plan social de grande ampleur frappe le FCGB afin de réduire le train de vie de l’ancien pensionnaire de Ligue 2 (près de 100 salariés seraient concernés), voilà que Sud Ouest dévoile une information surprenante ce vendredi matin.
A lire aussi >> Ancien de Ligue 2 – Libre après son passage à Bordeaux, Jérémy Livolant s’engage dans un nouveau club !
En effet, l’entraîneur Bruno Irlès disposerait en réalité d’un contrat… d’un mois (jusque fin septembre) en tant que dirigeant. C’est en tout cas ce que la plateforme « Foot Clubs » de la FFF indique. Son adjoint, Dado Prso, serait dans le même cas. Pourquoi ce stratagème ? Ce serait pour contourner le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) mis en place, où des personnes en interne auraient pu occuper la fonction d’entraîneur principal. Selon les textes, Bordeaux s’exposerait ainsi à des sanctions financières ou sportives si la situation de Bruno Irlès était jugée non conforme par la Fédération.
Crédit photo : Matthieu Mirville/Icon Sport
