Alors que Brest découvre pour la première fois de son histoire la Ligue des Champions cette saison, ce nouveau statut européen ne suffit pas à attirer toutes les recrues espérées en Ligue 1. Le directeur sportif, Grégory Lorenzi, fait le point dans Le Télégramme à l’issue du mercato sur la situation et les nombreux mouvements enregistrés le tout dernier jour par le SB29.
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« Rien que le dernier jour, j’ai fait sept mouvements. Mais ce n’est pas moi qui ai voulu faire les dossiers le 30 août. Je suis le premier à le dire, la longueur du mercato est aberrante. Et pour faire venir un joueur, il faut que trois parties s’entendent. Doumbia, on le voulait depuis le début. Mais il a fallu attendre le dernier moment pour que tout le monde tombe d’accord. Mama Baldé, pareil. Les discussions avaient lieu depuis longtemps, mais le « ok » est venu le 30, à 18h. Et on ne l’a enregistré qu’à 22h54, quand on avait jusqu’à 22h59 pour le faire. On est finalement partis à 2 heures du matin. Fatigués. Vraiment fatigués. »