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EA Guingamp – Sylvain Ripoll : « On connait notre marge de progression »

Ce n’est pas si inhabituel si tôt dans une saison de Ligue 2 mais une fois de plus, le club de Guingamp fait partie des leaders et est même en tête du championnat grâce à sa différence de but favorable ! Le club breton, qui a gagné ses deux premières rencontres, est l’une des belles surprises et sera sans doute l’un des favoris pour gagner lors des 7 matchs du multiplex face à un Red Star FC promu, que Sylvain Ripoll tient tout de même en haute estime. Le coach guingampais s’est exprimé en conférence de presse à la veille de cette rencontre qui sera certainement riche en enseignements.

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« C’est un adversaire qui, en tout cas sur son match à Amiens, a montré un jeu relativement ambitieux. Un adversaire coriace, avec des qualités, il faudra qu’on soit très bons pour chercher un résultat positif. On a envie de continuer sur ce qu’on fait de bien depuis quelques temps. On a aussi vu en deuxième mi-temps, sur 20 minutes, qu’on avait beaucoup souffert. On connait notre marge de progression, les axes de travail pour être plus performants. Maintenant, on sait aussi ce qu’on est capables de bien faire et c’est là-dessus qu’il va falloir aller. »

« À Laval, j’ai vu de la continuité (avec la victoire 4-0), surtout sur la première mi-temps et je dirais même jusqu’à la 60e minute après avoir disséqué ce match-là. Nos problèmes ont commencé entre la 60e et la 75e, quand on a commencé à moins respecter certains de nos principes. À avoir beaucoup plus de déchets techniques et à moins tenir le ballon. On a permis à l’adversaire d’avancer, de s’installer et de nous poser des problèmes. Ce sont toutes ces choses-là qui font qu’on a été moins bons. Après, on aurait pu se soulager en fin de match en concrétisant au moins une de nos occasions. Il a aussi fallu faire appel à des valeurs de combat, de générosité, d’abnégation qui sont indispensables pour construire une belle saison. »

Un marché des transferts en standby

« Comme depuis un certain temps, on sait que des choses peuvent se passer. On les anticipe. Est-ce qu’elles se font ? À l’instant T, non. Sachant qu’on est dans un contexte difficile. Pour qu’il y ait des arrivées, il faudra qu’il y ait des départs. »

Photo Dave Winter/FEP/Icon Sport

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