Alors que des entretiens ont lieu ce mercredi-même avec le maire, le club de Bordeaux ne sait toujours pas de quoi demain sera fait. Les délais sont très courts avant le 1er août (date du passage devant la DNCG pour la saison 2024-2025 en National) et il faut actionner tous les leviers nécessaires au maintien du club en troisième division – à la fois via un plan social massif et une arrivée de fonds fiable pour financer un budget de club amateur en N1. Le tout au sein d’une institution qui était en énorme déficit structurel depuis de longues années.
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Même si les dettes ont été gelées grâce au redressement judiciaire prononcé par le tribunal de commerce, rien n’est encore certain et Gérard Lopez aurait même entrouvert la porte à une sortie du capital du club, et donc à un rachat. Plusieurs candidats seront reçus à la mairie au cours de l’après-midi d’après L’Équipe, quelques heures après le directeur général Thomas Jacquemier qui s’est entretenu avec Pierre Hurmic.
Parmi eux, nous retrouvons des personnalités telles que Pascal Rigo (entrepreneur ayant réussi dans le marché de la boulangerie aux États-Unis notamment), l’homme d’affaire et supporter du FCGB Bruno Fievet ou encore Patrice Pichet, fondateur et PDG d’un grand groupe immobilier natif de Bordeaux. Autant de figures et de projets qui vont devoir convaincre les décideurs dont font partie les élus locaux et le maire de Bordeaux, qui a de quoi faire pencher la balance en faveur d’un candidat au rachat sur certaines décisions cruciales de Bordeaux Métropole, qui est propriétaire du Stade Matmut Atlantique. Notamment concernant des créances à abandonner pour aider les Girondins à se sauver, ou encore un loyer à revoir encore davantage à la baisse…
Source : lequipe.fr
Photo Loic Baratoux/FEP/Icon Sport
Est-ce que les habitants de la metrôpole du Grand Bordeau seront d'accord pour que la Métrôpole s'assoie sur 20 millions de dette de la part des girondins "location et entretien du stade"
C'est trop facile de faire n'importe quoi de faire une gestion catastrophique et après faire payer la ville de Bordeaux et ce qui n'est pas normal c'est d arrivé à 90 millions d euros l alarme aurait dû sonner avant
Il y a beaucoup moins de clémence pour le monde de l’entreprise ou souvent le dirigeant travaille pour sauver sa société
Es ce normal de prendre un actionnaire comme Lopes qui se fait virer de 3 clubs il y a un problème quelques part
Le problème réside du fait que Lopes était le seul à amener les fonds de suite..mais à quel prix!