Présent dans l’équipe-type du championnat National grâce à une superbe saison 2023-2024 avec le FC Martigues, Amine Hémia a obtenu le droit de jouer à l’étage au-dessus mais part à l’autre bout de la France pour réaliser son rêve ! C’est en effet à Guingamp que le joueur de 26 ans formé à Angers SCO s’est engagé en tout début de mercato et a signé un contrat professionnel. Pour ses premiers pas dans le grand bain, le néo-guingampais qui découvrira dans un mois la Ligue 2, s’est présenté à la presse bretonne dans une conférence organisée par le club.
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« C’est compliqué de parler de soi (rires), mais je suis un milieu de terrain « box to box », je suis capable de défendre et d’attaquer, d’être décisif dans les derniers mètres. Ces dernières saisons, j’ai essayé – et je pense l’avoir bien fait – d’apporter ma pierre à l’édifice offensivement, avec beaucoup de statistiques, en essayant de bien servir mes attaquants. J’ai une palette assez large, même si je peux et je vais progresser sur tous les aspects. À l’origine, j’étais un milieu offensif. Je suis un « 10 », maintenant dans le football moderne c’est moins fréquent. Ce 10 s’est un peu transformé en milieu relayeur, en « 8 », c’est le poste qui me convient le plus. La saison dernière, j’ai aussi été amené à jouer au niveau des deux n°6 et ça s’est très bien passé. Je peux y jouer mais le poste où je vais apporter le plus c’est celui de milieu relayeur. »
➡️ Faites connaissance avec Amine Hémia, le nouveau milieu de terrain de l’EAG, acteur majeur de l’accession du FC Martigues en Ligue 2 la saison passée 🔴⚫️#TeamEAG #WarRaok pic.twitter.com/VuIO5Yraox
— En Avant Guingamp (@EAGuingamp) July 16, 2024
« Je suis un joueur qui aime aller de l’avant, c’est la spécialité de mon jeu. J’aime beaucoup aller de l’avant, prendre des risques sur des passes, des conduites, des dribbles, des frappes. J’ai énormément marqué sur des frappes aux 18 mètres. C’est ma spécialité, depuis tout petit, j’aime ça. En jeunes, j’ai toujours été amené à tirer les coups de pied arrêtés, les corners ou les coups francs aux abords de la surface. C’est un geste que j’apprécie, que je travaille beaucoup même s’il parait maîtrisé en match. C’est beaucoup de travail. J’aime bien frapper à la fin des séances, plusieurs fois dans la semaine. »
