Avec la rénovation du Stade Armand-Cesari, le retour de Benoît Tavenot et de Frédéric Antonetti au club, Bastia est en train d’entrer dans une nouvelle ère et un souffle d’optimisme se fait sentir du côté du Sporting ! En revoyant partiellement son mode de fonctionnement et en faisant revenir un entraîneur prometteur aux idées fraîches, le SCB va aborder sa quatrième saison de suite en Ligue 2 dans la peau d’une équipe générant beaucoup d’attente de la part des nombreux supporters. Supporters que B. Tavenot veut se mettre dans la poche en proposant un football digne de ce nom et en gagnant le maximum de matchs à Furiani, pour bien débuter son mandat d’entraîneur de l’équipe première. Cet amoureux du club bastiais s’est présenté à la presse ce mercredi après-midi.
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« C’est une immense fierté, mais pas un aboutissement. L’aboutissement, ça sera quand on aura réussi. J’ai tout connu dans ce club : la formation, être adjoint en pro, la direction du centre… J’ai vécu ce dépôt de bilan qui a fait du mal à beaucoup de gens, je me suis exilé sept ans, ça m’a appris des choses, que je pouvais travailler ailleurs, mais je suis très, très heureux de revenir ici. »
« Réussir, c’est quoi ? C’est donner des émotions au public dans ce stade, c’est performer, c’est avoir une mentalité de travail et un état d’esprit extraordinaire […]. Je pense que l’investissement et l’engagement, c’est non négociable. Après, ça ne sert à rien de s’entraîneur huit heures par jour, ce n’est pas ça. Il faut mettre de l’intensité quand on y est, trouver un juste équilibre, après je demande de l’investissement personnel. Je suis très investi, le staff l’est aussi, les dirigeants et le public le sont, alors je demande des joueurs investis. »
Photo SC Bastia
