Le nouveau match le plus important de la saison de l’ASSE approche à grands pas. Les Verts accueilleront en effet Rodez ce vendredi (20h30) dans le cadre du play-off 2 d’accession à la Ligue 1. Après leur échec dans la course à la montée directe, ils devront rapidement être en mesure de repartir de l’avant face à une équipe du RAF qui sort tout juste d’une qualification acquise aux tirs au but lors du premier tour. En amont de ce rendez-vous décisif, l’entraîneur stéphanois, Olivier Dall’Oglio, s’est exprimé face à la presse.
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💬 Le groupe à sa disposition, la mentalité à avoir avant un match « de Coupe » ou encore Rodez, son futur adversaire…
Olivier Dall’Oglio était en conférence de presse avant le play-off #ASSERAF (ce vendredi, 20h30) ! 👇
— AS Saint-Étienne (@ASSEofficiel) May 23, 2024
Une nouvelle chance de monter
« Il y a toujours un plan contre l’équipe en face de nous. On se focalise sur nous, on sait qu’on va se créer des occasions, mais aujourd’hui il faut les mettre au fond. C’est l’objectif. Il faut qu’on soit plus vigilant défensivement, actuellement on prend des buts sur coup de pied arrêté. L’idée est de monter le niveau à chaque fois […] À un moment donné, on parlait de ne surtout pas descendre. Ensuite ça s’est transformé en autre chose, mais il ne faut pas l’oublier. La déception doit vite s’évacuer parce que les joueurs ont fait des choses intéressantes. »
L’importance du facteur physique
« Il ne va pas être ultra déterminant, mais il va entrer en ligne de compte, obligatoirement. Tout comme le mental […] Oui (ndlr : l’ASSE a un avantage sur le plan physique), c’est clair. Après on va dire qu’eux sont sur une dynamique. On peut parler toute la semaine à ce sujet. »
Une préparation différente ?
« Se préparer différemment, non. On l’a dit d’entrée, c’est un match de coupe. Je pense que les garçons ont déjà joué un match de coupe. Dans couperet, il y a coupe, donc voilà. Ce match-là, tu le gagnes ou tu le perds. L’équipe a été préparée comme ça, pour être prête. Il faudra de l’audace et toute la détermination possible […] Il faut jouer le match, on vous laisse l’analyse. Nous, hommes de terrain, on doit jouer le match sans porter des fardeaux de stress, même si ça existe. On doit être dans les meilleures dispositions pour jouer en évacuant tout ce qui se passe à l’extérieur et en ne se concentrant que sur l’équipe. »
Des choix forts en approche ?
« Je ne vais pas bouleverser l’équipe, pourquoi je le ferais ? Est-ce que j’ai les moyens de le faire ? […] Après la mi-temps, si ça ne me convient pas, je peux rapidement faire des changements, oui. »
Photo Alex Martin/FEP/Icon Sport
