Après avoir raccroché les crampons, il est parfois difficile de retrouver un source d’adrénaline similaire à ce que l’on peut vivre toutes les semaines en tant que footballeur, en particulier dans le monde professionnel avec toute la pression et les enjeux sur la table. C’est pourquoi Frédéric Sammaritano, ancien de Vannes, Auxerre, Ajaccio et Dijon, a choisi comme beaucoup de se reconvertir en entraîneur pour continuer à vivre de sa passion et à ressentir des émotions similaires.
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Aujourd’hui coach adjoint de Benoît Tavenot au DFCO, l’ancien joueur aux 189 matchs de Ligue 1 et 175 rencontres de Ligue 2 est très impliqué et prend même part aux cris de guerre poussés par les siens dans les vestiaires les soirs de victoire en National : « Ça me fait plaisir, mais il faut que les joueurs prennent ce rôle. J’ai basculé, je ne suis plus dans le même registre […]. On a beaucoup moins d’influence sur le match quand on est sur le côté, mais malgré tout, j’ai l’impression d’être tout aussi épuisé à la fin d’une rencontre. Il y a une sacrée charge mentale et de stress. »
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Photo Vincent Poyer/Icon Sport
