Montpellier (15e) a eu la bonne idée de remporter un match très important face à Metz (3-1) lors de la 22e journée de Ligue 1, avant de rechuter le week-end passé contre l’OM (1-4). Conséquence, les Héraultais sont toujours à égalité de point avec Lorient (16e), actuel barragiste, et sont donc loin d’être tirés d’affaire. Opposés à une équipe de Strasbourg (13e) retombée dans ses travers depuis le début de l’année 2024, les hommes de Michel Der Zakarian devront profiter du public de la Mosson pour s’éloigner de la zone rouge et faire tomber un concurrent direct. L’entraîneur montpelliérain était présent en conférence de presse pour évoquer les enjeux de la rencontre.
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D’où vient l’irrégularité du MHSC ?
« Je ne peux pas vous le dire, ce n’est pas moi qui suis sur le terrain. Lorsque tu es joueur, tu t’appropries le match. Quand tu es coach, tu essayes de transmettre certaines choses, mais ce n’est pas toi qui joue. Il faut qu’eux soient bons dans tous les domaines s’ils espèrent être performants. Toute l’équipe doit vivre son match et essayer de jouer la même partition, sinon on ne peut pas être bon. »
L’agressivité, l’ingrédient indispensable ?
« Il faut être bon dans tout, mais c’est la première des choses oui. L’envie, l’agressivité, être présent et vivre le match. Gagner ses duels, c’est primordial […] Parfois on subit les événements, comme vous, comme tout le monde. Des fois en bien, des fois en mal […] On ne va pas répéter sans arrêt les mêmes choses, il faut être présent dans tous les domaines, être les premiers sur le ballon, être bien positionné… Voilà, c’est tout. »
Comment faire abstraction de la pression ?
« Comme ils l’ont fait contre Metz. C’était un match important aussi. Si on veut gagner les matchs, il va falloir qu’on soit bon à chaque fois. Je pense qu’on a une bonne équipe, des bons joueurs. À nous de faire ce qu’il faut. »
Photo Loic Baratoux/FEP/Icon Sport
