Vainqueur avec brio de son match du lundi soir contre l’ESTAC (5-0) en ayant maîtrisé toute la partie, le club de Saint-Étienne a montré un très beau visage et va vouloir enchaîner lors de la 25e journée de Ligue 2. Certes, les Verts seront en déplacement à Angers, qui est incroyable à Raymond-Kopa cette saison, mais l’équipe entraînée par Olivier Dall’Oglio peut surtout compter sur tous ses joueurs majeurs, sans absent ce 15 février 2024 ! Des conditions qui doivent permettre à l’ASSE d’être plus que compétitive contre l’actuel deuxième du championnat, qui est tout de même la meilleure équipe à domicile (12 matchs, 10 victoires et 2 matchs nuls).
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« On va se frotter à ce qui se fait de meilleur : Angers, Auxerre… on voit que c’est au-dessus, en toute logique. C’est bien, il arrive bien ce match, il n’y a pas de souci. On a toutes les armes à notre disposition pour faire des choix. C’est bien d’avoir toutes ces armes, on le dit souvent il y a l’équipe qui commence et une autre qui finit. Un match ça dure 95 minutes et les garçons qui seront sur le banc devront être très motivés pour bien finir ce match. »
« Dylan Batubinsika est rentré de la CAN, ça fait de la concurrence en plus sur les postes défensifs oui. Je pense que c’est très positif pour le staff, ça doit l’être pour les joueurs. Ça oblige les joueurs à être à leur meilleur niveau tout le temps. Obligatoirement, si on a des bons joueurs à un bon niveau, on aura une équipe encore plus performante. Wadji, et Tardieu sont aptes aussi, de ce que j’ai vu […]. Ça nous a tellement manqué de ne pas avoir un banc « solide » que maintenant qu’on en a un, on est contents. Après bien sûr que vous avez des egos à gérer mais sur le terrain, ils doivent s’effacer pour laisser place au collectif. »
« Ce que je veux trouver, c’est de la variété sur le terrain. Qu’on soit capables de passer sur les côtés, si on passe par l’axe, de sécuriser mais qu’on en soit capables aussi. On peut jouer long, j’aime bien qu’il y ait aussi des changements de jeu. Ce sont eux, les joueurs, qui vont faire les choix. Je veux qu’ils aient une vision, qu’ils voient les choses et qu’ils voient loin. Pas seulement les 10 mètres autour d’eux. À partir de là, les choix seront différents pour eux car il y aura différentes options qui se présenteront. C’est juste ça que je leur demande.
Photo Loic Baratoux/FEP/Icon Sport
