Depuis l’échec de l’appel d’offres de l’automne dernier, le feuilleton de la commercialisation des droits TV de la Ligue 1 et de la Ligue 2 se poursuit. Objectif pour Vincent Labrune, le président de la Ligue de Football Professionnel (LFP) : atteindre la somme de 900 millions d’euros par saison en cumulant les droits domestiques et à l’international, pour la période 2024-2029. Bonne nouvelle dans cette optique selon L’Équipe : des « signaux positifs » ont été envoyés par beIN Sports depuis quelques semaines.
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Diffuseur de la Ligue 1 entre 2012 et 2020 (et actuel diffuseur de deux affiches de Ligue 2 par journée), beIN avait formulé une offre qualitative sur la L1 en octobre dernier, avant de s’abstenir de faire une proposition financière. D’après le quotidien, une rencontre a eu lieu en début de semaine entre Vincent Labrune, Nasser Al-Khelaïfi (président du PSG ET de beIN Media Group) et Yousef al-Obaidly, directeur général de la chaîne. Les trois hommes sont encore apparus ensemble samedi à l’occasion de la rencontre entre Orléans et le PSG. Le diffuseur pourrait s’adjuger deux ou trois matchs de L1 par journée, en appui de DAZN, principal candidat à la retransmission de l’ensemble des rencontres. Autre possibilité pour le LFP, coupler l’offre de DAZN avec celle de Prime Video qui souhaiterait diminuer son investissement.
En attendant la formule choisie par la LFP, la Ligue 1 pourrait avoir deux, voire trois diffuseurs différents la saison prochaine.
