Avant d’attaquer le premier des dix derniers matchs, le club de Metz est bien placé pour figurer dans le top 2 de Ligue 2 en fin de saison ! Il pourrait même s’y retrouver ce samedi soir en gagnant à Laval, en fonction du résultat de Sochaux et de Bordeaux (qui ne joue que lundi). Au match aller, Laval-Metz s’était terminé avec une expulsion du gardien messin et un score de 3-3 alors que les Grenats menaient par 3 buts à 1 en première mi-temps. A l’époque, le FC Metz avait fait preuve d’une certaine « fragilité mentale » pour reprendre les termes d’un journaliste présent en conférence de presse. Des propos que confirme László Bölöni.
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« Je crois que dans le premier tiers du championnat, c’était le cas. C’était la période où l’on s’adaptait tous, les uns aux autres. Moi, je commençais juste à connaître l’effectif, sa mentalité, sa capacité à surmonter les épreuves… Et puis on était extrêmement nombreux, le mercato n’était pas fini encore. On en a eu, des problèmes sur nos épaules ! Aujourd’hui, je connais un petit peu mieux notre effectif… Je crois que l’atmosphère a changé depuis cette époque. »
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« Aujourd’hui, la seule chose que je sais c’est que pour arriver jusque-là (en Ligue 1), il faut être à 120%, minimum. C’est déjà une information importante pour moi, pour les joueurs, pour tout le monde. Une autre chose, c’est que cette absence des internationaux nous a perturbé un petit peu. J’aimerais qu’ils reviennent à Metz, dans leur tête je veux dire, le plus rapidement possible. Je ne pense pas à autre chose qu’au match contre Laval, mais je sais que tous les autres matchs seront de plus en plus difficiles. »
Photo Loic Baratoux/FEP/Icon Sport
