Toujours invaincu au Stade du Hainaut cette saison, Valenciennes n’en piétine pas moins depuis sept journées (trois nul quatre défaites). Les Nordistes auront fort à faire samedi lors de la réception de Metz, l’équipe qui a le mieux terminé la phase aller du championnat. Lors de la 20e journée de Ligue 2, la série à domicile des hommes de Nicolas Rabuel sera en grand danger. D’autant que l’effectif du VAFC sera loin d’être au complet.
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« On a pas mal de pépins musculaires avec Cuffaut, Debuchy, Lecœuche, Linguet qui est suspendu et Zinga qui est en réathlétisation. On a travaillé cette semaine une nouvelle défense et pour que Bajic (le nouveau gardien du VAFC) prenne un maximum de repères. On insiste là-dessus pour pallier tous ces forfaits. Pour Julien (Masson) on est en train de se poser la question parce que c’est encore limite. Il a fait une partie de l’opposition la semaine dernière. Soit il aura un travail complémentaire, une présence dans le groupe ou un temps de jeu en réserve. »
Sur l’arrivée de Salim Ben Seghir (prêté par l’Olympique de Marseille) : « Ça faisait partie des pistes qu’on avait évoquées récemment. On cherche à étoffer le secteur offensif. Salim vient pour sa polyvalence sur le front de l’attaque. C’est une opportunité qu’on a eue. […] C’est dans le même profil qu’Ilyes (Hamache) percutant, dribbleur, profondeur, pour jouer à gauche ou à droite et améliorer ces 30 derniers mètres […] En 24 heures, il a plié bagage. Il a fait de gros efforts pour jouer chez nous. On sent qu’il avait envie de jouer, il avait d’autres opportunités en Ligue 2. Il a pris son baluchon et il a débarqué ici. »
Sur le match face à Metz : « C’est une confrontation de séries. Nous, on a une série à défendre à la maison. Eux ont pris 16 points sur 18 en six matchs. On a aussi une série à réenclencher puisqu’on a pas gagné depuis sept matchs. Ça va être un grand rapport de force face à une équipe qui à densifier son bloc par rapport au match aller, qui a une qualité individuelle et collective énorme. C’est un gros challenge, un gros défi où on a tout à gagner. Il faudra ne leur laisser aucune cartouche parce qu’ils sont impitoyables. »
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Photo Hugo Pfeiffer/Icon Sport
