Championnat

Bastia – Régis Brouard : « Il y a une forme d’impatience, les joueurs veulent retrouver la compétition »

Le SC Bastia est parti en vacances sur une note plutôt négative, après cinq matchs sans succès en Ligue 2. Un bon repos, deux matchs amicaux et une opposition interne plus tard, voilà les Bastiais de nouveau sur le pied de guerre avec une opposition face à Caen qui se profile ce lundi 26 décembre. Kapitbafan Djoco devrait faire partie du groupe pour son premier match avec sa nouvelle équipe, mais est sans doute trop peu affuté pour débuter la rencontre, tandis que Maguette Diongue en sera encore absent. Régis Brouard affirme qu’un tout autre championnat va débuter à partir de la 16e journée et qu’il à hâte de revoir la pelouse de Furiani.

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« Il y a une forme d’impatience parce qu’on est dans le travail tous les jours, on ne s’est pratiquement pas arrêté à part ce week-end… On se rend compte que les joueurs veulent retrouver la compétition ! Cela va être une expérience, pour tout le monde. On est en train de vivre quelque chose de différent […]. On a fait un bilan de ce qu’on pouvait présenter sur l’aspect défensif ou offensif. Il y a un constat, c’est qu’on a du mal à se créer des occasions ou des situations, en dehors de la deuxième mi-temps à Sochaux, où c’était très intéressant. On manquait peut-être de vitesse, de profondeur, de jeu vertical… On a regardé tout ça. »

« La donnée qui change beaucoup de choses ici au Sporting, c’est le public. Malheureusement, son absence sera un handicap pour nous, on a conscience de ça. On a déjà joué un match à huis clos à Saint-Étienne, ça ne s’est pas très bien passé (défaite 5-0)… Il va falloir qu’on s’adapte. Il y a quand même un fait important c’est qu’en quatre jours, on reçoit deux fois à domicile. On a perdu trois matchs à domicile, c’est trop. On nous donne l’occasion à travers ces deux matchs de refaire quelque chose à domicile, quelles que soient les circonstances. C’est à nous de saisir cette opportunité, parce que je pense que jouer deux fois ici juste après la trêve, c’est une bonne chose. »

Photo Vincent Poyer/FEP/Icon Sport

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