Avant son déplacement à Dijon, Quevilly-Rouen va beaucoup mieux et pointe à la 12e place de Ligue 2, grâce à deux victoires successives à Caen et contre Nîmes. Une situation plus agréable pour le club normand, mais dont il ne faut pas se contenter. Le coach Olivier Échouafni prône des valeurs de rigueur pour ne pas se reposer sur ses lauriers et capitaliser sur ces deux derniers succès afin d’éloigner davantage QRM de la zone de relégation.
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« Toutes les semaines, chaque week-end, tout est remis un petit peu en question. Malgré tout, faire des résultats positifs ça permet de valider tout le travail et les idées mises en places. Il faut que les joueurs soient bien réceptifs aussi : ils le sont. Je suis content de voir qu’ils sont à l’écoute. Ils mettent le travail en pratique, mais à tout moment, on a des absences. Je vais prendre un exemple : on mène 3-0 contre Nîmes, et on leur donne la possibilité de marquer un but. Ces absences-là, il faut qu’on les gomme. On manque encore de rigueur sur certains aspects. »
« Il ne me semblait pas logique de sortir un joueur qui avait réussi une bonne prestation (à Caen), avec une victoire à la clé. Ce que j’ai essayé de changer, c’est l’animation, sachant qu’on était à domicile. On devait être en capacité de se projeter vers l’avant, mais aussi d’être en phase de possession. On a travaillé différents cas de figure. Pour moi, il est important de concerner tout le monde, parce que les aléas, les suspensions, les blessures… Ce que je ne veux pas, c’est qu’ils soient dans le confort. Bien au contraire. Quand il y a des victoires et qu’on est au complet, automatiquement cela permet de tirer le groupe vers le haut. »
Photo Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport
