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Michel Mallet, président de QRM : « Je n’ai jamais eu besoin de durcir le ton »

Une seule victoire en 2022 et quatre buts inscrits lors des 11 derniers matchs : Quevilly-Rouen glisse lentement mais sûrement vers le fond du classement depuis le départ, subi par le club, de Bruno Irlès cet hiver et son remplacement par Fabien Mercadal. Le club normand a terminé la semaine à trois matchs avant la trêve internationale à la 18e place de Ligue 2, celle du barragiste. Dans les colonnes de Paris-Normandie, le président Michel Mallet s’est voulu rassurant.

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« On sait ce qui s’est passé pendant notre début de deuxième partie de saison, avec notamment beaucoup de blessés et de cas de Covid. Janvier n’a pas été bon du tout et on savait que le mois de mars allait être le pire de tous et que notre destin se jouerait vraisemblablement en avril […] Quand on ne peut pas gagner un match, il faut au moins savoir ne pas le perdre, en évitant les erreurs individuelles ou les fautes techniques comme on en a trop vu contre Niort (0-2). Maintenant, moi, j’ai une grande confiance envers le groupe et le staff. Il ne faut simplement pas que les garçons regardent leurs chaussures, il faut relever la tête. En cela, le match de Sochaux qu’on aura dans deux semaines est un bon rendez-vous. »

Sur la situation au classement : « Parler de nos 25 points acquis à la trêve, c’est une chose, mais ce qui compte, c’est d’aller chercher la dizaine qui nous manque. On a aussi eu des périodes compliquées sur la première partie de saison, avec peu de buts marqués et beaucoup d’encaissés. L’héritage du nombre de buts pris, il ne date pas que depuis début janvier. On a pris deux 3-0 que la phase aller, donc on avait un capital défensif pas super. Notre maintien passera pas de la générosité, de l’envie, un jeu plus agressif. »

Sur son rôle : « Ça fait 22 ans que je suis président et je n’ai jamais eu besoin de durcir le ton. je peux être amené à un moment donné à intervenir pour mettre tout le monde face à ses responsabilités, se recaler avec l’objectif, amener du soutien et une communication positive, parce que c’est ça qui est important. Mais s’il y a quelqu’un qui doit pousser un coup de gueule, c’est au coach, ou au staff […] On n’est pas plus inquiet qu’on pouvait l’être au moment d’attaquer le championnat. »

Crédit photo ©Aude Alcover/Icon Sport

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