Malgré la situation délicate au classement, Antonin Bobichon n’a pas hésité de passer de la Ligue 1 avec Angers à Nancy en Ligue 2 pour retrouver du temps de jeu et du plaisir sur le terrain. Avec un gros challenge à relever : celui de participer au maintien de l’ASNL dans le monde professionnel. Après une belle victoire contre Dunkerque (2-0), le milieu de terrain s’est confié à MaLigue2 avant un déplacement important au Havre.
Photo by Dave Winter/FEP/Icon Sport
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MaLigue2 : Antonin, ce succès contre l’USLD a donné un bon coup de boost moralement à l’équipe dans cette lutte pour le maintien ?
Antonin Bobichon : C’est sûr que ça fait du bien ! Déjà de remporter un match car cela ne nous est pas arrivé beaucoup. Cela met du baume au cœur à tout le monde, d’autant plus face à un concurrent très direct. On est toujours en course et c’est le plus important. Ces temps-ci, nos adversaires directs comme Dunkerque ou Grenoble avaient enchaîné quelques bons résultats. Nous on n’était pas forcément payés et on était distancés. Cette victoire nous permet de recoller pas mal. Il nous manque encore quelques points pour être vraiment au contact, mais on n’est plus très loin maintenant.
Ce match face aux Nordistes était celui le plus abouti collectivement selon vous depuis votre arrivée ?
Peut-être. En tout cas, ce qui est sûr, ce qu’il y a du progrès dans nos performances depuis le début des matchs retour et l’arrivée du coach. Comme je l’ai dit plus tôt, on n’était pas forcément payé sur les derniers matchs. On a retrouvé de la solidité défensivement parlant. Quand on concède moins d’occasions, on a déjà plus de chances de gagner des matchs. Et puis offensivement, on a su être efficaces, donc c’était un bon match.
Quand on regarde la dynamique actuelle (3 matchs sans défaite), cette gros claque subie à Valenciennes (6-1) a-t-elle été un mal pour un bien ?
Ce qui est sûr, c’est qu’on n’a pas envie de revivre ce qu’on a vécu à Valenciennes ! Peut-être que ça reste dans un coin de la tête et que pour éviter de telles déconvenues, on sait ce qu’il faut mettre. Il y a une base de travail importante, on bosse bien et ça se ressent dans les résultats.
Après avoir eu une bonne discussion avec le coach, on était sur la même longueur d’ondes
Albert Cartier avait notamment décidé de faire une séance nocturne après cette défaite, comment aviez-vous vécu tous ensemble ce moment fort et inhabituel dans une saison ?
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