Chaque saison, l’arbitrage en Ligue 1 et en Ligue 2 essaie de mettre en avant un thème bien précis. Par le passé, on se souvient par exemple que le tirage de maillot était au centre des débats. Cette saison, l’accent est mis sur la détection encore plus forte des simulateurs supposés. Une plus grande sévérité est demandée envers eux par le DTN de l’arbitrage, Pascal Garibian, dans L’Equipe.
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« On a demandé aux arbitres d’être le plus efficients possible sur le terrain, dans la détection des simulations et d’être fermes dans les sanctions disciplinaires en cas de simulation avérée sur les penalties. On a aussi demandé aux assistants vidéo (il n’y a pas la VAR en L2 pour rappel) d’être plus proactifs pour proposer les images à l’arbitre central, en cas de recherche évidente de contact de l’attaquant envers le défenseur sur un penalty sifflé. Pour les contacts simultanés « pied contre pied » dans la surface entre l’attaquant et le défenseur, l’objectif est de rester fidèle à la décision de l’arbitre central, qui a souvent le bon placement et le ressenti adéquat de l’action. »
Sont-ils formés à être le plus efficace possible car c'est bien connu, un bon arbitre on ne se rend même pas compte de sa présence lors d'un match mais il est vrai qu'à ce niveau là, on n'officie pas pour une rencontre de football mais pour un spectacle (c'est ce que l'on nous apprend lors des journées nationales de l'arbitrage). C'est à dire que l'on rémunère grassement sur une saison des "directeurs de jeu" pour être des régisseurs.