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Rodez – Joris Chougrani : « On a vu ce que c’était de galérer »

Joris Chougrani, joueur de Rodez depuis son plus jeune âge, a pratiquement tout connu au RAF. Entre les galères ou même les joies, le natif de Cassagnes n’a pas eu le temps de s’ennuyer depuis qu’il se trouve au sein du club Ruthénois. Interrogé par La Dépêche du Midi, le défenseur s’est confié sur sa fidélité sans faille pour son club actuel, entre autres :

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« Je suis au club depuis l’âge de 12 ans ! Je ne suis pas un extraterrestre, j’ai surtout eu la chance de monter en National avec Rodez. Si ça ne s’était pas fait, je n’aurai pas eu la chance de signer professionnel. J’ai saisi cette opportunité et le reste, c’est du bonus. Quand je suis arrivé, j’ai tout de suite pris mes marques, je m’y suis très bien senti. Même si je suis né à Montpellier, je suis Aveyronnais, et je n’ai pas l’envie de partir. Depuis que je suis en senior au RAF, c’était dur au début, avec la descente en National 2. On a vu ce que c’était de galérer et je crois que tout le monde a changé d’état d’esprit pour la reconstruction. On a vu la progression en général. Mais il faut relativiser, on a la chance de jouer au foot et que ça soit notre métier, donc il faut en profiter le plus longtemps possible. Je n’ai pas spécialement le rôle du leader, je ne prends pas de place, je suis là et je fais mon job.  Le match face à Toulouse, c’est le derby. A l’aller, on s’est fait gifler, du coup on a vraiment à cœur de se racheter. »

Source : La Dépêche du Midi

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