Rodez ne joue pas plus mal que l’an dernier, où il découvrait la Ligue 2 en qualité de promu. Mais les Ruthénois sont pourtant avant-derniers du championnat, après 14 journées. La faute à un bloc trop friable, trop peu hermétique. La faute à des erreurs individuelles qui coûtent chères. Joris Chougrani tire la sonnette d’alarme, même si tout n’est pas mauvais.
A lire aussi >> Droits TV – Mediapro n’a pas payé sa troisième traite
« Il y a de bonnes choses, on se parle bien sur le terrain, on se crée des occasions, on arriver à marquer et il faut que l’on continue avec cette débauche d’énergie, mais on se doit de gommer les erreurs que l’on fait. Tous les détails vont être importants pour se remettre dans le bon chemin. Les équipes qui sont devant nous au classement ne sont pas loin même si la situation est quand même alarmante, je ne dis pas le contraire. Maintenant, l’important est de ne pas se diviser. […] Chacun est assez grand pour faire son autocritique et gommer ce qu’il faut gommer. »
Source : Centre Presse Aveyron