Président de la Berrichonne de Châteauroux, Thierry Schoen s’exprime ce samedi matin dans les colonnes de La Nouvelle République. L’occasion pour lui de revenir sur le dossier de la reprise avortée cet été. Qui a eu pour conséquence de faire réagir quelques actionnaires frondeurs.
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« Le conseil d’administration a été réélu au mois de décembre pour six ans avec le président, moi-même, pour six ans également. J’avais expliqué à ce moment-là que notre modèle économique basé sur l’amitié, le bénévolat, l’investissement de gens issus du cru ne pouvait pas perdurer. Je souhaitais qu’on envisage la possibilité d’ouvrir le capital à des investisseurs, je n’ai pas dit que le club était à vendre. Il y a eu des dossiers qui ont été présentés, il y en a eu d’autres avant. Il y a un tas de clubs qui ont été rachetés ou sont en train de l’être : Clermont, Niort, Caen, Troyes, Valenciennes. La Berrichonne est regardée parce qu’elle est financièrement saine. Il n’y a pas de besoin fondamental à l’instant présent. Après, si des offres nous viennent, on les examinera et on fera au mieux des intérêts du club. Ce que je souhaite c’est pérenniser le club, pas enrichir les actionnaires. »
