Grenoble ne gagne plus depuis plusieurs matchs. Désormais 9es (35 points), les Isérois ont néanmoins fait un pas de plus vers le maintien, vendredi, en obtenant un nul à Châteauroux (2-2, 23e journée de Ligue 2). Vers quel objectif se tourne désormais le promu ? Philippe Hinschberger a plutôt envie de regarder devant…
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« Si on prend le déroulement du match, on peut mener 3-1. Globalement, sur le corner et la tête de Bengriba… ce n’était peut-être pas le même match à 3-1. On ne peut pas regretter le score, car Châteauroux a fait son match. Ce match a ressemblé à une prolongation de Coupe de France, avec beaucoup d’allers-retours, des équipes qui ont su, assez facilement, se mettre en situation de finir. Ce fut un match agréable, avec de jolis buts, mais 3 sur coups de pied arrêtés. Malgré tout ce que l’on met en place, ça va tellement vite.
Nous avons le sentiment qu’il faut avoir beaucoup d’occasions de but pour marquer. On en met 2 à l’extérieur, on ne va pas pleurer. Nous avons eu pas mal de souci, avec les absences de Coulibaly et Sanusi qui sont mes sécurités. On s’est fait transpercer parfois au milieu. Romain Grange ? Il est venu pour jouer. On l’a pris pour l’amener une plus-value technique. S’il continue à ce rythme, je signe.
Il nous reste une quinzaine de matchs. Il faut savoir ce que l’on veut en faire. D’ici 2 à 3 victoires, on sera maintenu. Nous avons fait toute la première partie dans les 5-6 premières places. Nous n’avons pas envie de jouer la 15e. Maintenant, nous verrons si on a la possibilité, où si nous étions en surrégime en première partie, ce que je ne pense pas. Il est temps, notamment à domicile, que l’on retrouve la victoire. »
