De nouveau lanterne rouge de Ligue 2, Nancy a 19 matchs, encore, pour se sauver. Cela commencera par un déplacement à Lens, ce samedi (21e journée). Un rendez-vous toujours délicat à négocier, même si les Artésiens ne sont pas au mieux. Alain Perrin part avec l’objectif de ramener au moins une unité de ce voyage en terre artésienne.
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© Photo Péron Photographie
« Il faut garder, ce que je n’ai pas toujours vu, un esprit coupe, un esprit conquérant, afin de batailler sur tous les terrains pour prendre des points. Y compris à Lens. Si on ramène un point d’un déplacement périlleux, on s’estimera heureux. Il faut toujours être capable de créer du danger, afin de ne pas subir les événements. Même si on partira avec un bloc bien organisé. Il faut garder des ambitions dans le jeu afin de soulager la défense. La situation de Lens ? Je ne sais pas si c’est une équipe qui doute, mais on aura une équipe revancharde, en réaction. Ils vont nous attendre avec la volonté de nous presser et de faire la différence. Aller à Lens, c’est un plaisir. Tous les joueurs aiment les stades où y a de l’ambiance. Bollaert est toujours agréable pour ça. C’est un stade qui vit. Ce n’est pas un public problématique que l’on rencontre dans certains stades. »
Source : L’Est Républicain
