L’arrivée d’Alain Perrin sur le banc de l’AS Nancy-Lorraine en remplacement de Didier Tholot en Ligue 2 a bousculé l’organisation du staff technique. Ainsi, en plus de sa casquette de directeur sportif du club, Paul Fischer est revenu à son rôle d’entraîneur adjoint, et a notamment pris en main la partie préparation physique. Dans les colonnes de l’Est Républicain, l’ancien joueur sait que ce rôle n’est pas forcément le plus apprécié des joueurs, mais voit que le travail porte ses fruits.
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« Quand on fait bosser physiquement, on ne peut pas être bien vu par tout l’effectif. On apprend à se connaître avec les joueurs. Certains trouvent toujours qu’on en fait trop, mais ils sont de plus en plus nombreux à comprendre que c’est pour leur bien et pour le bien de l’équipe, surtout. Dans le foot, il existe un niveau physique en dessous duquel un joueur ne peut pas être performant, quelles que soient ses qualités par ailleurs. C’est comme ça, ce n’est pas moi qui l’ai inventé. Si des joueurs ne l’acceptent pas, ils s’élimineront d’eux-mêmes. »
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