Jean-Marc Furlan peut faire sourire, quand on sait que le Stade Brestois reste sur 2 exercices de Ligue 2 terminés à la 5e place. Mais le coach finistérien, expérimenté, sait que tout est remis en question à chaque été. Du coup, lui espère surtout décrocher le maintien le plus tôt possible, avant d’espérer la cerise sur le gâteau. Car si plus de la moitié de la L2 peut prétendre à la Ligue 1 au coup d’envoi de la saison, des cadors pourraient se battre…pour le maintien.
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« On a terminé la saison sur une très forte progression et, pour tout dire, on ne pensait pas finir à cette place-là. Contrairement à la saison précédente, où on avait raté l’accession, cette fois, il n’y a pas eu d’amertume. Au contraire, j’ai un ressenti très positif de notre préparation. Logiquement, l’ambition, c’est de terminer devant tout le monde. Mais l’objectif, c’est de prendre les 42-43 points le plus vite possible pour le maintien. L’histoire de cette division nous apprend qu’on peut arriver à valider cette montée en avançant presque cachés. La quête du Graal va concerner une dizaine d’équipes, on le sait. Mais beaucoup de grands clubs ou supposés tels se retrouveront aussi à lutter pour ne pas descendre. Cela incite donc à la prudence et à la discrétion. »
Source : France Football
Je suppose que Furlan, le présomptueux, parle pour lui : après avoir raté l'accession puis avoir connu une saison en dents de scie avec Brest, je pense qu'il aura du mal à remotiver ses troupes et que le sens de la flèche en ce qui le concerne sera plutôt vers le bas que vers le haut. Son attitude agressive sur le banc en tant qu'entraîneur, ses commentaires d'après match toujours centrés sur lui et son équipe sans égards envers ses adversaires ne plaident pas en la faveur de ce personnage peu sympathique.