En contestation à son licenciement pour « faute grave » en avril 2017 de son poste d’entraîneur de La Berrichonne de Châteauroux après avoir parié sur un match de football professionnel, Michel Estevan réclamait 400 000 euros de dommages et intérêts à son ancien employeur, qui a réussi entre temps à se hisser en Domino’s Ligue 2.
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Mais ce mardi, le tribunal des Prud’hommes a débouté l’ancien entraîneur castelroussin, comme l’indique La Nouvelle République. S’il s’agit d’une première victoire pour La Berri dans cette bataille judiciaire, la lutte pourrait ne pas en rester là puisque le clan Estevan, représenté par son avocat Me Lacombe, devrait faire appel de cette décision.