A Nancy, il y a quelque chose qui truste les premières places d’un classement : la pelouse de Marcel Picot. Depuis cet été, l’hybride a pris le relais d’un synthétique dépassé. Guillaume Brancard, le jardinier de l’antre lorrain, a donc un certain mérite à voir fleurir l’un des plus beaux terrains de l’antichambre du foot français. Cependant, il minimise son mérite :
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« L’herbe, c’est quelque chose qui vit, avec différentes réactions selon les situations. Comme un humain. Si la pelouse de Picot est stressée, je le vois tout de suite. […] Je ne fais rien d’extraordinaire, je suis simplement passionné et j’ai la chance d’être soutenu par la Métropole du Grand Nancy et par l’ASNL qui me donnent les moyens de bien travailler sur la pelouse. »
Source : L’Est Républicain