Ce vendredi lors de la sixième journée de Ligue 2, Nancy s’est redonné un peu d’air grâce à sa victoire 3-0 face à Valenciennes. Cette première victoire coïncide avec la première de Vincent Hognon sur le banc nancéien. Une victoire qui tombe à pic et qui va permettre au président Jacques Rousselot de reprendre son souffle et de remettre un peu d’ordre au sein de son club.
Et notamment sur le dossier Pablo Correa. « Au soir de Brest, j’ai voulu tout de suite conforter Pablo. D’où mon interview sur notre site. Mais quand on s’est revu le lendemain, c’est lui-même qui a émis l’hypothèse d’un départ. Parce qu’il sentait l’hostilité ambiante. Voilà pourquoi je l’ai suspendu pour le bien de tout le monde. Il le reste d’ailleurs à cette heure. Il est toujours au club. Mais je vais encore le rencontrer cette semaine pour décider de la suite… », explique Rousselot dans l’Est Républicain.
Mais l’ancien entraîneur n’est pas le seul dans le viseur de Jacques Rousslot, qui n’a pas du tout apprécié le début de saison de son club. « Il faudra que des gens se remettent à bosser ! Il y en a qui ne bossent pas assez ! (…) Dans n’importe quel club qui descend, il faut digérer. Voilà aussi pourquoi on voulait changer beaucoup de joueurs. Mais il reste un traumatisme. Ça s’est vu encore en première mi-temps vendredi. J’ai senti de la fébrilité, de l’angoisse même dans le vestiaire. Il fallait redonner de l’envie… ».
Source: L’Est Républicain
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