José Riga n’était pas fataliste ni inquiet du revers du FC Metz à Wasquehal ce dimanche après-midi. Lors de ce 8e tour de la Coupe de France, les Messins ont été sortis par les Nordistes (2-1) sans véritablement être en position de se qualifier. A moins d’une semaine de la réception de Dijon (18e journée de Ligue 2), il y a urgence à se refaire la cerise.
José, comment analysez-vous ce revers ?
Pour Wasquehal, il y a 2 occasions de jeu… Ce ne sont pas à proprement parlé des occasions. Mais les faits de jeu ne sont pas en notre faveur. Après, toute victoire se construit à partir d’une solidité défensive. Nous avons un poteau, une transversale, une occasion d’égaliser en toute fin de partie… Ce match, on peut le gagner 1-0 mais on se met en difficulté. On manque de percussion dans les 30 derniers mètres. Il y a donc un sentiment de domination mais la défaite est là. Il faut s’attacher à retrouver les fondamentaux. la défense doit d’abord défendre. C’est navrant de sortir de cette manière.
Vous accueillez Dijon samedi prochain, il y avait mieux pour préparer ce match non ?
Forcément, perdre contre Wasquehal n’est pas la meilleure façon de préparer ce choc. Nous aurions voulu faire un match abouti ici. Nous ne manquerons pas de confiance, mais il faut se rappeler les fondamentaux.
La Ligue 2 a connu un week-end très difficile avec 7 clubs à la trappe. Comment l’expliquez-vous ?
Cela ne fait pas longtemps que j’entraîne en L2. Mais c’est difficile d’expliquer cela. Je l’ai déjà dit. Dans toutes les équipes, il y a des joueurs de qualité. Sur une rencontre, tout le monde peut rivaliser avec tout le monde. C’est donc difficile pour tout le monde.
Propos recueillis par Laurent Mazure, à Croix