11e de Ligue 2 avant cette 16e journée, Tours possède la 17e attaque du championnat. Un triste constat pour Marco Simone, l’entraîneur italien du TFC. Mais lorsqu’il regarde les chiffres, il ne peut que se montrer fataliste, en espérant des jours meilleurs à venir :
« J’en ai un seul, Christian Kouakou, qui a mis trois buts, les autres deux ou un. J’attends beaucoup plus. Après 15 journées, que tu vises la montée ou le maintien, tu dois avoir un attaquant qui a déjà marqué 6, 7 buts. C’est vrai aussi que j’ai six attaquants (Kouakou, Bosetti, Malfleury, Miracoli, Tandia, Bergougnoux voire Do Couto) pour trois postes et que j’ai beaucoup fait tourner. »
Mais en tant que coach, il ne peut plus se montrer aussi exigeant que par le passé. Du moins, la réaction ne doit pas être vive : « C’était plus facile quand j’étais joueur et qu’un copain ne marquait pas. Tu pouvais l’envoyer chier. Mais, en tant qu’entraîneur, il faut rester… tranquille pour que les joueurs ne pensent pas que le coach est fâché.«
les footeux d'une autre époque...... des vrais......