Nîmes revient dans la course. Vainqueurs des Cristoliens à l’extérieur, les Crocos ont achevé une belle semaine. Surtout, avec 4 unités au compteur, ils entrevoient de plus en plus la lumière. Cela passera par des prestations de tout premier ordre, comme chez les Franciliens. José Pasqualetti le sait plus que n’importe qui :
Cette victoire fait du bien et cela ponctue une belle semaine ?
Oui, je suis content pour les garçons. Ce n’est pas évident de bosser comme ils bossent et de ne pas être récompensés. Contre Dijon, on a fait un match sérieux contre une bonne équipe. Ce vendredi soir aussi, contre une formation difficile à manoeuvrer. Il n’y a que les victoires qui vous procurent de la joie et la motivation nécessaire pour continuer. C’est le plus important.
Vous avez misé sur la carte de l’offensive et, même en fin de match, vous n’avez rien lâché…
C’est un peu la situation qui veut cela. Avant la rencontre, j’avais dit que l’on venait pour le gagner. Nous aurions pris un point, nous aurions été contents. Après, au regard de la tournure du match, on pense être tranquille en supériorité numérique, on prend un but un peu casquette. Donc on doit s’appuyer sur le banc. On n’a plus rien à perdre. Mais je tiens à féliciter le groupe, car il est attachant.
Les joueurs ont tenu le cap.
Oui, si on ne se fait pas violence, on n’y arrivera pas. Si on veut y arriver, et on va y arriver, ça ne sera peut-être pas avant la 37e voire la 38e journée. Mais si on se fait violence avec le même résultat, ça m’intéresse et je prends.
